En fin de repas, insatisfaite, je me resservais… un peu et… encore un peu. Je ressentais de la culpabilité et du jugement face à cette attitude. Lorsque j’ai pu SOURIRE et prendre cela comme un jeu, j’ai ressenti de la satisfaction et j’ai été heureuse de me donner le droit. Cela m’a fait penser à mon père et mon grand-père qui ne se servaient que de la moitié d’une part et en reprenaient petit à petit, mangeant finalement une part entière. Et j’ai eu le souvenir de leur plaisir à savourer avec délicatesse et se servir avec retenue. Depuis, j’ai un regard bienveillant sur moi-même. Je me sens accompagnée et accompagnante des êtres ayant cette compensation. Je suis enchantée de me sentir accompagnée par la bienveillance de mes ancêtres et de mon ANGE.
Marie-Jeanne