Oui, cette ballade à « l’aplomb de nos mots » me verticalise ce matin.
Pour la première fois, par écrit je suis ému de ce que tous nos enfants de trente à trente-sept ans semblent si loin de l’Etre qui nous fait être.
Mais je souris en me revoyant moi-même claquer la porte de ce que je jugeais être de faux-semblants, et me rappelle :: « Vos enfants ne sont pas vos enfants... ».
Finalement, je leur trouve une verticalité, justement, si proche de cet Essentiel dont je parle sans savoir, comme une échelle où les anges montent et descendent, comme en cachette.
Olivier